Ils nous manquait deux choses avant de passer au Chili: les Pinguins et les Gauchos.
Dans les brumes des voyages en Bus de plus de 24h nous tombons avec chance sur le village qui réunira les deux: Puerto Deseado.
Tout commence pres d'une roulotte en guise d'office du tourisme.
Antoine nous a laché mais il nous reste encore Pauline.
Nous cherchons un logement pour la nuit,
Rendu grogi par les 1500km de route et le changement brutal de climat.
Nous cherchons l'économique, la jeune hotesse nous propose une pension de "famille".
Caché sous l'escalier 11 d'HLM faisant face a la mer,
Une petite femme ronde nous acceuille.
Elle héberge les marins de passage, parle doucement mais rie fort.
Passez l'apréhension, nous échangons avec Walter sur les problématiques des mouvements syndicaux chez les marins-pécheurs...
Mais Puerto Désséado comporte d'autres richesses que les aubergistes au rire étrange et les marins syndiqués fan des 80's.
Un peu plus loin dans les terres, d'autres éspèces se réunisent.
C'est la Jineteada* òu les les Gauchos* se réunnissent pour parader et montrer leurs talents.
Aprés le défiler dans la ville, l'apres midi se poursuit dans une carrière non loin, ou s'enchaine course et rodéo.
Sur la butte surplombant l'arène, des chanteurs commentent les festivité sur les tons mytiques de la Payada*.
Dans les brumes des voyages en Bus de plus de 24h nous tombons avec chance sur le village qui réunira les deux: Puerto Deseado.
Tout commence pres d'une roulotte en guise d'office du tourisme.
Antoine nous a laché mais il nous reste encore Pauline.
Nous cherchons un logement pour la nuit,
Rendu grogi par les 1500km de route et le changement brutal de climat.
Nous cherchons l'économique, la jeune hotesse nous propose une pension de "famille".
Caché sous l'escalier 11 d'HLM faisant face a la mer,
Une petite femme ronde nous acceuille.
Elle héberge les marins de passage, parle doucement mais rie fort.
Passez l'apréhension, nous échangons avec Walter sur les problématiques des mouvements syndicaux chez les marins-pécheurs...
Mais Puerto Désséado comporte d'autres richesses que les aubergistes au rire étrange et les marins syndiqués fan des 80's.
Un peu plus loin dans les terres, d'autres éspèces se réunisent.
C'est la Jineteada* òu les les Gauchos* se réunnissent pour parader et montrer leurs talents.
Aprés le défiler dans la ville, l'apres midi se poursuit dans une carrière non loin, ou s'enchaine course et rodéo.
Sur la butte surplombant l'arène, des chanteurs commentent les festivité sur les tons mytiques de la Payada*.
*Jineteada: de "Jinete", personne se distanguant par leur habilité hippique et par une vie tourné vers l'équitation. La Jineteada est une fête comprenant nombreux concours hippiques. Comme le rodéo, ou les gaucho et Jinete doivent tenir un temps donné sur un cheval sauvage tout en le cravachant. Occasion de mémorables gamelles.
(pour les fan Jinete viens de zenetha, tribu du Sahara Occidental réputée pour son habilité a cheval)
*Gaucho: il faudrais faire un chapitre entier sur ce sujet tant il est passionnant.
Les Gauchos furent les premiers habitants de la Pampa, chassant les troupeaux de vache sauvage des plaines.. Ils ont directement succédés aux indiens, et beaucoup était d'ailleurs métisse.
Tout changea avec la création des "saladeros" suplantant l'économie bovine. Les propriétaires terriens venu d'europe on commencé a créer les estancias, cloturant les terres et repoussant ainsi les gaucho.
Ils furent petit a petit accusés de "vagabondage" et forcés, par l'enrolement force dans l'armee, les estancias ou dans les usines de salage , a abandonne leur vie d'homme libre...
Cherchez Martìn Fierro sur google vous comprendez...
*Payada: le chant typique des gaucho qui se rapproche de notre slam actuel. Les chanteurs improvisent des vers sur des airs de guitares. Tantot pour conter un fait, commenter une Jineteada, ou affronter ses rivals lors de duels endiablés
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